jeudi 27 juin 2013

CHEMIN FAISANT...


 L'été arrivant, nous nous lançons sur divers chemins.

En voici un petit inventaire, non sans avoir auparavant rappelé la célèbre phrase de Saint-Augustin :


"Avance sur ta route,
Car elle n'existe que par ta marche"


Chemins parallèles

Chemin d'hiver
Chemin de gué élevé.


Chemin de reflets
Chemin de fraternité
Chemin de crêtes



Chemin de Panurge


Chemin...de table


Chemin de croix


Sans oublier :


   "Je ne saurais dire à quel moment le sentiment de la nécessité des livres s’est imposé à moi.
   Très tôt dès l’enfance j’avais aimé éperdument les mots et le refuge de l’imaginaire.
  Je m’étais inventé des vies, des territoires, en chérissant quelques vocables dont la matière sonore, le chatoiement et le suc me nourrissaient. »





  Alors, bons chemins!

« Qu’importe l’issue du chemin                                                                           
 quand seul compte      

                    le chemin  parcouru. »(D. Le Breton)




jeudi 13 juin 2013

Récréation visuelle...

Faites un tour sur mon dernier "tableau", je dirais plutôt ma dernière galerie :
LES CHOSES TELLES QUE JE LES VOIS...


Cela vous sera récréatif, je l'espère, autant que pour moi, lors de la réalisation!
Bon parcours, et n'hésitez pas à commenter...


http://pinterest.com/xtinefoulcher/les-choses-comme-je-les-vois/




Lisbonne

dimanche 2 juin 2013

"L'ENFANCE N'EXISTE PAS...




"L'enfance n'existe pas...Elle n'est que coquille vide, pure invention de l'esprit, mais il faut bien commencer quelque part, non?"

Le lecteur de ce blog et de "Terre d'enfance" pourra aisément comprendre combien j'ai été intriguée par le début du dernier roman de Marie NIMIER : Je suis un homme.
Un roman vraiment intéressant, que je n'ai pu lâcher!


Marie Nimier (que j'ai rencontrée récemment) écrit des romans, des pièces de théâtre et des chansons. Fille de l’écrivain Roger Nimier («Le hussard bleu», «Les enfants tristes»…), Marie Nimier a su se faire un prénom. Son abondante production lui a notamment valu un Prix Médicis pour «La reine du silence». C’était en 2004.

Avec beaucoup de talent, Marie Nimier réussit à se mettre dans la peau de Alexis Leriche, depuis la boucherie paternelle qu'il déteste (comme beaucoup de choses ou de personnes) jusqu'à l'accident final qui va le rendre handicapé.
Rien de "cruel" dans ce personnage, c'est juste terriblement vrai, et on finit par adopter ce macho, somme toute assez banal, même s'il ne correspond pas à l'ensemble du genre masculin. En tout cas, l'auteur a dû avoir beaucoup de joies à l'écriture de ce roman.
Voilà une suggestion de lecture, pour un après-midi pluvieux.

Mais, soit avant, soit après votre lecture, prenez le temps d'écouter Marie Nimier sur le plateau de La Grande Librairie, en janvier dernier :
(Elle est interviewée en premier)
La grande librairie | France5